J'ai profité du cadre agréable du lac de Konstanz pour traîner jusqu'à 11h30 au camping.
J'ai pris la direction de Radolfzell.
Le circuit qui fait le tour du lac (240 km) s'éloigne par moments du bord de l'eau. J'ai eu deux grosses montées sur 20 km. Après la journée de lundi, journée la plus sportive depuis le départ, c'était un peu dur pour les mollets.
J'ai fait la visite de Radolfzell où les rues sont très décorées et fleuries. Les maisons sont toutes aussi belles les unes que les autres. Il y a un petit port avec des yachts.
Le vent permet de supporter la température de 30 degrés.
Je reprends la route avec le vent dans le dos et un soleil de plomb.
J'arrive à Constance vers 16h.
C'est une belle ville universitaire qui semble être proche du paradis, d'ailleurs un quartier s'appelle le "paradies".
Je suis très bien accueilli par une Servas qui me sert de guide en me montrant le lac et la vieille ville de nuit.
Aujourd'hui j'ai roulé pendant 45 km à la moyenne de 18 km/h pendant 2h30.
Reprise de l'Eurovélo 6 le dimanche 5 juin.
mardi 24 mai 2011
lundi 23 mai 2011
De Waldshut (Baden-Wurttemberg) à Wangen (Baden-Wurttemberg)
Hier j'ai visité Waldshut-tiengen c'est une vieille ville où beaucoup de maisons datent du XVI siècle. Elles sont peintes et décorées par des dessins.
Hier soir j'ai discuté avec un couple d'Allemands se déplaçant en camping-car et ayant un bébé. Lui parlait en français et connaissait bien Rennes. Ce sont les rencontres avec plein de gens différents qui constituent l'un des charmes de ce voyage.
Cette nuit il a plu plusieurs fois mais ce n'était plus orageux.
Quand je me suis levé la tente était déjà séche.
Ce matin j'ai découvert qu'un autre couple Allemand en vélo était arrivé la veille après 22h et qu'ils étaient déjà prêts à partir. J'ai discuté avec eux en français. La veille ils étaient partis de Bâle et ils se rendaient, comme moi à Schaffhausen.
Je suis parti du camping vers 9h15, le temps était maussade et du coup la température était très agréable.
Au bout d'une demi-heure j'ai rattrapé le couple du matin et après je ne les ai pas revu de la journée.
Après une quinzaine de kilomètres, j'ai trouvé un office du tourisme ouvert et j'ai enfin pu acquérir une carte pour aller de Bâle à Konstanz. C'est quand même agréable de mieux savoir où l'on va.
Le dimanche, les offices de tourisme sont fermés aussi bien en Suisse (Bâle) qu'en Allemagne.
L'étape d'aujourd'hui sera mémorable. Au début l'Eurovélo6 traverse de beaux villages soit suisse soit allemand. J'ai franchi la frontière avec la douane au moins 5 fois.
Mais la vallée du Rhin est très étroite et les montées succèdent aux descentes. Même si je trouve de la satisfaction en montant, je déguste mon plaisir en descendant.
J'ai mangé mes sandwichs face aux chutes du Rhin. Le point de vue est très beau. Le lieu est plaisant, c'est moins grandiose que les chutes du Niagara mais tout est fait pour le touriste. La descente vers les chutes était sous les bois et c'était un vrai et long plaisir. Mais après il m'a fallu remonter presque 100m d'altitude en deux kilomètres.
J'ai fait tout çà à pied sous le soleil radieux.
J'ai été récompensé par la visite de Schaffhausen qui a beaucoup de maisons du XVII siècle.
J'ai dû faire deux fois des montées à finir à pied. Heureusement c'était seulement sur quelques centaines de mêtres.
Me sentant en forme, j'ai voulu pousser jusqu'à Stein Am Rhein et j'ai fini par trouver un camping situé juste au bord du lac de Konstanz, à Wangen.
Finalement, c'est une journée pleine d'effort et d'émerveillement. Je fais de plus en plus de rencontres de cyclistes qui sont sur l'eurovélo6, qui s'appelle le Rheintal weg en Allemagne.
Du coup j'ai fait 82 kilomètres en un peu moins de 5h à la moyenne de 17 km/h. Je suis arrivé vers 17h30 au camping.
Pour une fois je n'étais pas en nage à l'arrivée, à priori je gère de mieux en mieux mon énergie.
Le lac est autour des 400m d'altitude.
Maintenant je suis impatient de retrouver ma Dulcinée qui me soutient beaucoup dans mon coup de folie.
Albert le Bienheureux
Hier soir j'ai discuté avec un couple d'Allemands se déplaçant en camping-car et ayant un bébé. Lui parlait en français et connaissait bien Rennes. Ce sont les rencontres avec plein de gens différents qui constituent l'un des charmes de ce voyage.
Cette nuit il a plu plusieurs fois mais ce n'était plus orageux.
Quand je me suis levé la tente était déjà séche.
Ce matin j'ai découvert qu'un autre couple Allemand en vélo était arrivé la veille après 22h et qu'ils étaient déjà prêts à partir. J'ai discuté avec eux en français. La veille ils étaient partis de Bâle et ils se rendaient, comme moi à Schaffhausen.
Je suis parti du camping vers 9h15, le temps était maussade et du coup la température était très agréable.
Au bout d'une demi-heure j'ai rattrapé le couple du matin et après je ne les ai pas revu de la journée.
Après une quinzaine de kilomètres, j'ai trouvé un office du tourisme ouvert et j'ai enfin pu acquérir une carte pour aller de Bâle à Konstanz. C'est quand même agréable de mieux savoir où l'on va.
Le dimanche, les offices de tourisme sont fermés aussi bien en Suisse (Bâle) qu'en Allemagne.
L'étape d'aujourd'hui sera mémorable. Au début l'Eurovélo6 traverse de beaux villages soit suisse soit allemand. J'ai franchi la frontière avec la douane au moins 5 fois.
Mais la vallée du Rhin est très étroite et les montées succèdent aux descentes. Même si je trouve de la satisfaction en montant, je déguste mon plaisir en descendant.
J'ai mangé mes sandwichs face aux chutes du Rhin. Le point de vue est très beau. Le lieu est plaisant, c'est moins grandiose que les chutes du Niagara mais tout est fait pour le touriste. La descente vers les chutes était sous les bois et c'était un vrai et long plaisir. Mais après il m'a fallu remonter presque 100m d'altitude en deux kilomètres.
J'ai fait tout çà à pied sous le soleil radieux.
J'ai été récompensé par la visite de Schaffhausen qui a beaucoup de maisons du XVII siècle.
J'ai dû faire deux fois des montées à finir à pied. Heureusement c'était seulement sur quelques centaines de mêtres.
Me sentant en forme, j'ai voulu pousser jusqu'à Stein Am Rhein et j'ai fini par trouver un camping situé juste au bord du lac de Konstanz, à Wangen.
Finalement, c'est une journée pleine d'effort et d'émerveillement. Je fais de plus en plus de rencontres de cyclistes qui sont sur l'eurovélo6, qui s'appelle le Rheintal weg en Allemagne.
Du coup j'ai fait 82 kilomètres en un peu moins de 5h à la moyenne de 17 km/h. Je suis arrivé vers 17h30 au camping.
Pour une fois je n'étais pas en nage à l'arrivée, à priori je gère de mieux en mieux mon énergie.
Le lac est autour des 400m d'altitude.
Maintenant je suis impatient de retrouver ma Dulcinée qui me soutient beaucoup dans mon coup de folie.
Albert le Bienheureux
dimanche 22 mai 2011
Heningue Haut Rhin Waldshut Allemagne
Ce matin j'ai quitte le camping a 9h30. 5 minutes plus tard j´etais sur le pont des trois frontieres qui est reserve aux pietons et aux cyclistes. Je traverse Weil Am Rhein en 5 minutes avant d'arriver a la douane suisse. Je longe le Rhin a Bale pendant une dizaine de kilometres avant de quitter la Suisse pour la journee.
Je voyage essentiellement sur des pistes dediees aux velos.Je vois souvent des drapeaux suisses de l'autre cote du Rhin.
Les chemins cyclables ne sont pas toujours sur le long du fleuve. Les rives sont souvent utilisees par l'industrie. Du coup, je me suis paye quelques montees qui voulaient tester mes mollets. Je n'ai pas recule face a ces epreuves mais cela change beaucoup des canaux alsaciens.
J'ai pris mon premier repas dans un gasthaus et j'ai choisi a l'aveuglette un "schweineschnitzel" et j'ai decouvert que c'etait deux grosses escalopes panees de porc en sauce avec des frites de une grosse salade composee de differentes plantes. Je ne suis pas arrive a bout des frites tellement c'etait copieux.
Je suis arrive au camping de Waldshut-Tiengen vers 15 heures. La meteo avait prevu des orages pour cet apres-midi. Il a plu abondamment de 16 et 17 heures. Maintenant le temps a ete purge et le beau temps est revenu.
Aujourd'hui j'ai pedale pendant 3h45 a une moyenne de 18,6 km/h soit 69 km.J'ai l'impression d'avoir pris de l'altitude mais mes cartes ne me donnaient aue des lignes de niveau de 50 ou 100 metres. Ma valeur est estimee a 340m.
Je voyage essentiellement sur des pistes dediees aux velos.Je vois souvent des drapeaux suisses de l'autre cote du Rhin.
Les chemins cyclables ne sont pas toujours sur le long du fleuve. Les rives sont souvent utilisees par l'industrie. Du coup, je me suis paye quelques montees qui voulaient tester mes mollets. Je n'ai pas recule face a ces epreuves mais cela change beaucoup des canaux alsaciens.
J'ai pris mon premier repas dans un gasthaus et j'ai choisi a l'aveuglette un "schweineschnitzel" et j'ai decouvert que c'etait deux grosses escalopes panees de porc en sauce avec des frites de une grosse salade composee de differentes plantes. Je ne suis pas arrive a bout des frites tellement c'etait copieux.
Je suis arrive au camping de Waldshut-Tiengen vers 15 heures. La meteo avait prevu des orages pour cet apres-midi. Il a plu abondamment de 16 et 17 heures. Maintenant le temps a ete purge et le beau temps est revenu.
Aujourd'hui j'ai pedale pendant 3h45 a une moyenne de 18,6 km/h soit 69 km.J'ai l'impression d'avoir pris de l'altitude mais mes cartes ne me donnaient aue des lignes de niveau de 50 ou 100 metres. Ma valeur est estimee a 340m.
samedi 21 mai 2011
Montreux-Château ( Territoire de Belfort) Heningue (Haut Rhin)
J'ai vraiment eu la chance de rencontrer Katell, Malo, Morgane, Nolwen, Corinne et Gildas.
Grâce à eux, j'ai pu découvrir le Territoire de Belfort, le Haut Rhin et leurs spécialités entre autres gastronomiques. Merci pour leur accueil, leur bonne cuisine, leur intérêt pour mon projet et la vivacité des enfants. Quelle belle étape mémorable.
Ce matin, je suis parti à 9h15 avec Gildas qui m'a accompagné pendant une dizaine de kilomêtres. Il fait très beau et je descends jusqu'au Rhin.
Après une bonne douche, je suis reparti sans mes sacoches pour visiter Weil Am Rheine en Allemagne et ensuite Bâle en Suisse.
Grâce à eux, j'ai pu découvrir le Territoire de Belfort, le Haut Rhin et leurs spécialités entre autres gastronomiques. Merci pour leur accueil, leur bonne cuisine, leur intérêt pour mon projet et la vivacité des enfants. Quelle belle étape mémorable.
Ce matin, je suis parti à 9h15 avec Gildas qui m'a accompagné pendant une dizaine de kilomêtres. Il fait très beau et je descends jusqu'au Rhin.
Mairie de Mulhouse |
Quelques kilomêtres après Montreux-Château je suis à 360 m d'altitude et le Rhin, au niveau des trois frontières, est à 239 m.A 11h, j'étais à Mulhouse, j'ai pu admirer le vieux centre ville et surtout la place de la Réunion et sa mairie qui est très décorée. J'ai pu voir et surtout écouter l'arrivée de jeunes mariés qui étaient accueillis par un orchestre maghrébin en costumes traditionnels.
Je suis arrivé à 14h au camping de Heningue après 4h à 20 km/h.Après une bonne douche, je suis reparti sans mes sacoches pour visiter Weil Am Rheine en Allemagne et ensuite Bâle en Suisse.
Quel dépaysement et quel étonnement dès la frontière franchie, des cyclistes partout, d'énormes parkings à vélo pleins et il n'y a jamais de discontinuité des circuits cyclables: le RÊVE.
Place du marché à Bâle |
Je suis impatient d'arpenter l'Eurovélo 6 en Suisse et en Allemagne.
vendredi 20 mai 2011
Sortie avec les élèves de CM1 et CM2 de l'école primaire Jean de la Fontaine de Montreux-Château (Territoire de Belfort)
Ce matin par un soleil radieux, une cinquantaine de jeunes encadrés par une quinzaine d'adultes sont partis pour une boucle de 45 km. Nous traversons la forêt encore toute humide et ensuite nous parcourons de très belles pistes cyclables.
Des cigognes dans un clos mais il y en a aussi en liberté
Le midi
jeudi 19 mai 2011
L'Isle sur le Doubs (Doubs) Montreux-Château (Territoire de Belfort)
Aujourd'hui j'ai quitté l'Isle sur le Doubs vers 9h15.
Le temps est beau, il n'y a pas de vent.
Je visite Montbéliard avec un parcours fléché et guidé offert par l'office du tourisme.
L'église Saint Maimboeuf est écrasante par rapport au temple situé juste en dessous.
Les vieilles halles sont belles et le château des Ducs de Wurtenburg domine la vieille ville.
Après un repas complet sur une terrasse ombragée, je pars rapidement vers 13h car la météo est assez pessimiste pour l'après-midi.
Le canal du Rhône au Rhin se sépare du Doubs et longe la rivière la Bourbeuse.
Je rentre dans le Territoire de Belfort.
Je fonce à 27 km/h (avec le vent favorable) pendant les 20 derniers kilomètres. Le ciel est de plus en plus noir et je vois m'approcher des zones sous la pluie. Des rafales de vent de 65km/h sont annoncées.
L'orage gronde trois fois, la motivation est là pour passer le moins de temps possible sous la pluie.
J'arrive chez Gildas à Montreux -Château (altitude 344 m) vers 14h30, juste avant la pluie.
J'ai fait 53 km en 2h40 à la moyenne de 19,8 km/h.
Demain je fais la sortie cycliste de la classe de CM2 de Montreux-Château, classe dans laquelle est Malo.
Cette classe suit mon blog et je suis impatient de rencontrer tous ces jeunes cyclistes.
Le temps est beau, il n'y a pas de vent.
Je visite Montbéliard avec un parcours fléché et guidé offert par l'office du tourisme.
L'église Saint Maimboeuf est écrasante par rapport au temple situé juste en dessous.
Les vieilles halles sont belles et le château des Ducs de Wurtenburg domine la vieille ville.
Après un repas complet sur une terrasse ombragée, je pars rapidement vers 13h car la météo est assez pessimiste pour l'après-midi.
Le canal du Rhône au Rhin se sépare du Doubs et longe la rivière la Bourbeuse.
Je rentre dans le Territoire de Belfort.
Je fonce à 27 km/h (avec le vent favorable) pendant les 20 derniers kilomètres. Le ciel est de plus en plus noir et je vois m'approcher des zones sous la pluie. Des rafales de vent de 65km/h sont annoncées.
L'orage gronde trois fois, la motivation est là pour passer le moins de temps possible sous la pluie.
J'arrive chez Gildas à Montreux -Château (altitude 344 m) vers 14h30, juste avant la pluie.
J'ai fait 53 km en 2h40 à la moyenne de 19,8 km/h.
Demain je fais la sortie cycliste de la classe de CM2 de Montreux-Château, classe dans laquelle est Malo.
Cette classe suit mon blog et je suis impatient de rencontrer tous ces jeunes cyclistes.
mercredi 18 mai 2011
Besançon (Doubs) L'Isle sur le Doubs (Doubs)
Après deux jours de détente sédentaires, je quitte Besançon à 10 heures.
Au départ, le soleil est radieux, la température est très agréable.
La vallée du Doubs est très encaissée,le paysage est magnifique. Plus j'avance et moins la vallée est encaissée. Des fois, je suis le long de la rivière, des fois, je longe le canal du Rhône au Rhin.
Petit à petit, la vallée est moins profonde. Quand j'arrive vers Clerval je suis sur un plateau. Le paysage est beaucoup plus large mais c'est toujours aussi beau.
Je suis parti de l'altitude de 244 m à Besançon pour arriver à 291 m à l'Isle sur le Doubs, ceci en 74 km réalisés en 3h40 à une moyenne de plus de 20 km/h. Il fait toujours très beau à l'arrivée (à 14h30) et il n'y a pas eu de vent de la journée.
Cette étape est la plus belle que j'ai réalisée depuis mon départ.
Au départ, le soleil est radieux, la température est très agréable.
La vallée du Doubs est très encaissée,le paysage est magnifique. Plus j'avance et moins la vallée est encaissée. Des fois, je suis le long de la rivière, des fois, je longe le canal du Rhône au Rhin.
Petit à petit, la vallée est moins profonde. Quand j'arrive vers Clerval je suis sur un plateau. Le paysage est beaucoup plus large mais c'est toujours aussi beau.
Je suis parti de l'altitude de 244 m à Besançon pour arriver à 291 m à l'Isle sur le Doubs, ceci en 74 km réalisés en 3h40 à une moyenne de plus de 20 km/h. Il fait toujours très beau à l'arrivée (à 14h30) et il n'y a pas eu de vent de la journée.
Cette étape est la plus belle que j'ai réalisée depuis mon départ.
mardi 17 mai 2011
Besançon (Doubs)
Eh bien voilà deux jours que je suis à Besançon.
hier j'ai visité le centre historique de la ville (la presqu'île), la température est faible et les bisontins sont habillés comme en hiver..
J'ai passé deux heures au relais du vélo avec Didier qui m'a mis des pneus anticrevaisons et fait une grande maintenance. Il m'a fait beaucoup de compliments sur la solidité de mon vélo.
Didier rencontre beaucoup de grands voyageurs à vélo, il a même vu un tandem, avec les deux places couchées, qui a relié Acigné à Bratislava.
Il vient de commencer un livre d'or.
J'ai eu l'honneur d'y écrire le premier mot de sympathie.
J'ai visité le musée des beaux arts qui m'a marqué par la richesse des pièces d'égyptologie.
Aujourd'hui, sous une température agréable et un grand ciel bleu, je suis allé visiter le musée du temps qui traite de la mesure du temps et qui montre l'histoire de la mesure du temps et de l'horlogerie.
Il y a une salle expliquant le lien entre la mesure du temps et les instruments de bio-médical et de nano-technologies.
Après, je suis monté à la citadelle qui surplombe la vieille ville. Là, j'y ai visité le musée de la résistance et de la déportation. Ce musée très documenté m'a occupé pendant plus de 2h30.
J'ai visité, toujours dans la citadelle,le musée comtois qui explique comment vivaient, travaillaient et s'amusaient les francs comtois et comment est préparé le comté.
hier j'ai visité le centre historique de la ville (la presqu'île), la température est faible et les bisontins sont habillés comme en hiver..
J'ai passé deux heures au relais du vélo avec Didier qui m'a mis des pneus anticrevaisons et fait une grande maintenance. Il m'a fait beaucoup de compliments sur la solidité de mon vélo.
Didier rencontre beaucoup de grands voyageurs à vélo, il a même vu un tandem, avec les deux places couchées, qui a relié Acigné à Bratislava.
Il vient de commencer un livre d'or.
J'ai eu l'honneur d'y écrire le premier mot de sympathie.
J'ai visité le musée des beaux arts qui m'a marqué par la richesse des pièces d'égyptologie.
Aujourd'hui, sous une température agréable et un grand ciel bleu, je suis allé visiter le musée du temps qui traite de la mesure du temps et qui montre l'histoire de la mesure du temps et de l'horlogerie.
Il y a une salle expliquant le lien entre la mesure du temps et les instruments de bio-médical et de nano-technologies.
Après, je suis monté à la citadelle qui surplombe la vieille ville. Là, j'y ai visité le musée de la résistance et de la déportation. Ce musée très documenté m'a occupé pendant plus de 2h30.
J'ai visité, toujours dans la citadelle,le musée comtois qui explique comment vivaient, travaillaient et s'amusaient les francs comtois et comment est préparé le comté.
dimanche 15 mai 2011
Saint Jean de Losne (Côte d'Or) Besançon (Doubs)
Départ ce matin à 9 heures, le soleil est au rendez-vous même si quelques nuages sont présents.
Je remonte quelques kilomètres la Saône avant de rejoindre le canal du Rhône au Rhin. Le chemin de halage est très confortable et la température est fraîche, c'est l'idéal pour rouler. C'est complètement désert, j'ai l'impression d'avoir le chemin juste pour moi. Vers Dôle, je croise un cycliste style shopper qui est électrique.
A Orchamps vers midi je me ramasse une grosse grêle. Je fais demi-tour sur 300 m pour me mettre à l'abri d'un tunnel désaffecté, je suis déjà trempé. Je reprends la route au bout de 10 minutes. Mon pantacourt finit par sécher. Une autre averse à Routelle, là, je me réfugie dans l'entrée d'une chapelle pour attendre un beau soleil au bout d'un quart d'heure. Lors de mon entrée dans Besançon, une nouvelle averse forte, juste au moment où je passe devant le Relais à vélo, j'en profite pour avancer le rendez-vous de changement de mes pneus par des Marathon increvables (www.lerelaisvelo.fr). Ce sera fait lundi après-midi au lieu de mardi. Je suis interviewé par un journaliste d'Eurovélo6, nous discutons une bonne demi-heure pendant la pluie toujours battante. Le journaliste me donne des informations sur ce qui m'attend dans les jours à venir, cela devrait être de mieux en mieux jusqu'à Vienne, après il ne connaît pas.
J'arrive chez mes hôtes Servas vers 16h après 92 km réalisés en 4h50 à la moyenne de 19 km/h. L'altitude de Besançon est de 244 mêtres. J'ai parcouru en 16 jours de vélo 1300 km soit une moyenne quotidienne de 80 km (depuis Dinard).
Demain, première journée de repos pour visiter la Citadelle de Besançon et pour rencontrer une Bretonne qui a quitté l'Ouest depuis longtemps.
Je remonte quelques kilomètres la Saône avant de rejoindre le canal du Rhône au Rhin. Le chemin de halage est très confortable et la température est fraîche, c'est l'idéal pour rouler. C'est complètement désert, j'ai l'impression d'avoir le chemin juste pour moi. Vers Dôle, je croise un cycliste style shopper qui est électrique.
A Orchamps vers midi je me ramasse une grosse grêle. Je fais demi-tour sur 300 m pour me mettre à l'abri d'un tunnel désaffecté, je suis déjà trempé. Je reprends la route au bout de 10 minutes. Mon pantacourt finit par sécher. Une autre averse à Routelle, là, je me réfugie dans l'entrée d'une chapelle pour attendre un beau soleil au bout d'un quart d'heure. Lors de mon entrée dans Besançon, une nouvelle averse forte, juste au moment où je passe devant le Relais à vélo, j'en profite pour avancer le rendez-vous de changement de mes pneus par des Marathon increvables (www.lerelaisvelo.fr). Ce sera fait lundi après-midi au lieu de mardi. Je suis interviewé par un journaliste d'Eurovélo6, nous discutons une bonne demi-heure pendant la pluie toujours battante. Le journaliste me donne des informations sur ce qui m'attend dans les jours à venir, cela devrait être de mieux en mieux jusqu'à Vienne, après il ne connaît pas.
J'arrive chez mes hôtes Servas vers 16h après 92 km réalisés en 4h50 à la moyenne de 19 km/h. L'altitude de Besançon est de 244 mêtres. J'ai parcouru en 16 jours de vélo 1300 km soit une moyenne quotidienne de 80 km (depuis Dinard).
Demain, première journée de repos pour visiter la Citadelle de Besançon et pour rencontrer une Bretonne qui a quitté l'Ouest depuis longtemps.
samedi 14 mai 2011
Chagny (Saône et Loire) Saint Jean de Losne (Côte d'Or)
Cette nuit, j'ai entendu beaucoup de trains de frêt de la ligne Dijon Lyon qui est très proche du camping.
Ce matin, j'ai dû plier la tente mouillée sous un ciel bouché.
Je suis parti à 9h sur les chapeaux de roue car je descendais le long des écluses.
À Châlons sur Saône,altitude 184 m, une dame que j'interrogeais sur mon chemin, me répondit qu'elle ne me proposait pas le chemin le plus court mais celui qui était le plus explicable simplement.
La traversée de Châlons fut simple et rapide.
J'ai croisé un Allemand venant de Munich et se rendant à Saint Brévins les Pins, il était très étonné qu'il n'y ait pas de signalisation. Nous avons partagé nos avis respectifs sur les parcours déjà réalisés. Moi, je vais vers le mieux pour l'Europe centrale, par contre je lui ai dit que la Saône et Loire était ce que j'avais le mieux apprécié depuis Nantes.
Je n'ai eu que des routes partagées pour tout le reste de la journée, j'étais sur des grands plateaux au dessus de la Saône. Il y avait régulièrement un peu de pluie ou beaucoup de vent.
À Seurre, tous les hébergements étaient complets suite à la commémoration de l'abolition de l'esclavage, obtenu il y a 150 ans par Anne-Marie Javouhey, d'origine de Jallanches, commune mitoyenne de Seurre. 150 Antillais issus de de l'esclavage étaient invités à cet événement. J'ai continué sous la pluie ou face au vent jusqu'à trouver un hôtel à Saint Jean de Losne, altitude 182 m. Je suis arrivé à 15 h après 80 km réalisés en 4 h soit une moyenne de 20 km/h.
Cette commune est une des plus petites de France mais a le premier port de plaisance fluvial avec 350 anneaux.
Il y a toute sorte de péniches : des toutes petites,des grosses, des vieilles, des anglaises ou des hollandaises.
Ce matin, j'ai dû plier la tente mouillée sous un ciel bouché.
Je suis parti à 9h sur les chapeaux de roue car je descendais le long des écluses.
À Châlons sur Saône,altitude 184 m, une dame que j'interrogeais sur mon chemin, me répondit qu'elle ne me proposait pas le chemin le plus court mais celui qui était le plus explicable simplement.
La traversée de Châlons fut simple et rapide.
J'ai croisé un Allemand venant de Munich et se rendant à Saint Brévins les Pins, il était très étonné qu'il n'y ait pas de signalisation. Nous avons partagé nos avis respectifs sur les parcours déjà réalisés. Moi, je vais vers le mieux pour l'Europe centrale, par contre je lui ai dit que la Saône et Loire était ce que j'avais le mieux apprécié depuis Nantes.
Je n'ai eu que des routes partagées pour tout le reste de la journée, j'étais sur des grands plateaux au dessus de la Saône. Il y avait régulièrement un peu de pluie ou beaucoup de vent.
À Seurre, tous les hébergements étaient complets suite à la commémoration de l'abolition de l'esclavage, obtenu il y a 150 ans par Anne-Marie Javouhey, d'origine de Jallanches, commune mitoyenne de Seurre. 150 Antillais issus de de l'esclavage étaient invités à cet événement. J'ai continué sous la pluie ou face au vent jusqu'à trouver un hôtel à Saint Jean de Losne, altitude 182 m. Je suis arrivé à 15 h après 80 km réalisés en 4 h soit une moyenne de 20 km/h.
Cette commune est une des plus petites de France mais a le premier port de plaisance fluvial avec 350 anneaux.
Il y a toute sorte de péniches : des toutes petites,des grosses, des vieilles, des anglaises ou des hollandaises.
vendredi 13 mai 2011
Montceau les Mines (Saône et Loire) Chagny (Saône et Loire)
Aujourd'hui, après une bonne nuit à l'hôtel à Montceau les Mines j'ai pris mon vélo à 9h30. Sous un beau ciel ensoleillé, j'ai continué à longer le canal du centre. J'ai fait 10 km pour arriver à la zone de démarcation des eaux à l'altitude de 300 m à Montchanin. Après il n'y avait plus que de la descente jusqu'à la Saône. J'ai fait 45 km de cette descente jusqu'à Chagny. Bien que j'aie surtout descendu, ma moyenne est inférieure (19km/h) à celle d'hier car j'avais le vent frontal fort toute la journée. Je suis arrivé au beau camping de Chagny vers 12h30 après 55km réalisés en 2h50. Cet après-midi j'ai visité Châlon sur Saône avec Jean-Yves.
Nièpce a marqué sa ville en y inventant la photo, c'est Daguerre qui réalisa la première photo.
Kodak a eu une grosse usine d'Instamatics à l'époque de la photo argentique.
Nièpce a marqué sa ville en y inventant la photo, c'est Daguerre qui réalisa la première photo.
Kodak a eu une grosse usine d'Instamatics à l'époque de la photo argentique.
jeudi 12 mai 2011
De Pierrefitte sur Loire (Allier) à Montceau Les Mines (Saône et Loire)
Hier soir, au camping la gérante m'a conseillé de passer la nuit à l'abri dans la buanderie plutôt que sous ma tente, ceci à cause des risques importants d'orage (viligance jaune de Météo France).
Ce matin, à 9h30, j'ai pris la route qui longe le canal latéral de la Loire jusqu'à Digoin. Depuis je longe le canal du centre qui m'amènera à la Saône. J'ai pris un casse-croute en face du chateau de Digoin sur le bord du canal du centre. Je suis arrivé, sous une petite pluie depuis 10 km, vers 14h à Montceau les Mines après 70km soit 3h30 de vélo et à une moyenne de 19,6km/h de moyenne. Je suis arrivé à une altitude de 283 mètres.
Je profite de la médiathèque de Montceau pour essayer de vider mes appareils photos, sans résultat.
Pont canal à Digoin |
Le port de Montceau les mines au coucher du soleil |
Ce matin, à 9h30, j'ai pris la route qui longe le canal latéral de la Loire jusqu'à Digoin. Depuis je longe le canal du centre qui m'amènera à la Saône. J'ai pris un casse-croute en face du chateau de Digoin sur le bord du canal du centre. Je suis arrivé, sous une petite pluie depuis 10 km, vers 14h à Montceau les Mines après 70km soit 3h30 de vélo et à une moyenne de 19,6km/h de moyenne. Je suis arrivé à une altitude de 283 mètres.
Je profite de la médiathèque de Montceau pour essayer de vider mes appareils photos, sans résultat.
mercredi 11 mai 2011
Decize (Nièvre) Pierrefitte sur Loire (Allier)
Aujourd'hui je passe sans cesse de la région Auvergne à la Bourgogne.
Ce midi j'ai fait une étape à Bourbon Lancy. C'est une belle ville sur une butte. Il y a des thermes réputés que mes tantes Alberte, Andrée et Ninette fréquentaient régulièrement.
Il y a un côte énorme à l'arrivée dans le centre ville, j'ai préféré faire les dix derniers mētres à pied.
Sinon les pistes cyclables sont prévues pour les rollers, du coup c'est du vrai velours. Bravo au département de Saône et Loire pour ces réalisations. Je rêve de faire un jour la Manche à la Mer Noire en rollers.
Par contre, petit bémol dans ce département, il y a du très gros gravier à chaque fois qu'il y a une écluse, quel dommage pour les rollers et les vélocouchistes comme moi. J'ai réussi à me râper le coude. L'éclusier a sorti sa trousse de premier secours pour me permettre de désinfecter mon bobo.
Je longe toujours le canal latéral de la Loire.
Ce matin, j'ai vu une cigogne, pas farouche, qui suivait un tracteur faisant les foins.
Le parcours était très roulant aujourd'hui. J'ai fait 64km en 3h20 à la moyenne de 19,4 km/h.
Ce midi j'ai fait une étape à Bourbon Lancy. C'est une belle ville sur une butte. Il y a des thermes réputés que mes tantes Alberte, Andrée et Ninette fréquentaient régulièrement.
Il y a un côte énorme à l'arrivée dans le centre ville, j'ai préféré faire les dix derniers mētres à pied.
Sinon les pistes cyclables sont prévues pour les rollers, du coup c'est du vrai velours. Bravo au département de Saône et Loire pour ces réalisations. Je rêve de faire un jour la Manche à la Mer Noire en rollers.
Par contre, petit bémol dans ce département, il y a du très gros gravier à chaque fois qu'il y a une écluse, quel dommage pour les rollers et les vélocouchistes comme moi. J'ai réussi à me râper le coude. L'éclusier a sorti sa trousse de premier secours pour me permettre de désinfecter mon bobo.
Je longe toujours le canal latéral de la Loire.
Ce matin, j'ai vu une cigogne, pas farouche, qui suivait un tracteur faisant les foins.
Le parcours était très roulant aujourd'hui. J'ai fait 64km en 3h20 à la moyenne de 19,4 km/h.
mardi 10 mai 2011
Nevers (Nièvre) Decize (Nièvre)
chemin bucolique vers Decyse |
Ce matin j'ai pris le chemin de halage le long du canal latéral de la Loire. Les herbes étaient de plus en plus hautes et au bout de 7 km il n'y avait plus de traces de passage de vélo. En sortant du halage pour rejoindre une route partagée, j'ai eu droit à ma première crevaison. Je me dépanne avec ma bombe, cela tient 2 km et après j'ai eu droit à un éclatement de la chambre à air. J'ai du me faire dépanner pour revenir sur Nevers. Là j'ai trouvé un réparateur de cycles "roue libre". À 13h j'ai pu reprendre la route (sans halage) sous le cagnard. Je suis arrivé à Decize à 15h45. Du coup j'ai profité de mon temps libre pour faire complètement réviser mon vélo.
En tout j'ai parcouru 56 km en 3h30 à 16,5km/h. Le relief devient un peu plus vallonné.
L'altitude est de 193 m.
lundi 9 mai 2011
Cosné sur Loire (Cher) Nevers (Nièvre)
Fini le Berry et la Sologne, me voilà en Bourgogne la plus grande région française qui alimente 3 mers.
La piste "la Loire à vélo", arpentée aujourd'hui, date de 2009, c'est un vrai plaisir. C'est vraiment la partie la plus confortable de toute la région ligérienne. Il reste 30 km à améliorer entre Marseilles sur Aubigny et Nevers, ce qui devrait être fait à l'automne 2011.
Ce matin le temps était couvert, le soleil est apparu vers 14h. Avec le soleil, le vent s'est pointé. Il était faible mais au moins il ne me ralentissait pas.
J'ai traversé le pont canal du Guétin. À cet endroit là, le canal littoral à la Loire perd 10 m en deux sas. L'éclusier était sympa, d'ailleurs je ne peux que rendre hommage à tous ces travailleurs des canaux et des pistes cyclables qui sont toujours avenants et m'encouragent.
Nevers c'est une toute petite ville préfecture avec de beaux bâtiments construits avec des pierres calcaires.
Aujourd'hui j'ai parcouru 83 km en 4h45 à 17,6 de moyenne. Je suis parti vers 9h15 et je suis arrivé à la ville ducale à 15h30.
L'altitude est de 179 m.
La piste "la Loire à vélo", arpentée aujourd'hui, date de 2009, c'est un vrai plaisir. C'est vraiment la partie la plus confortable de toute la région ligérienne. Il reste 30 km à améliorer entre Marseilles sur Aubigny et Nevers, ce qui devrait être fait à l'automne 2011.
Ce matin le temps était couvert, le soleil est apparu vers 14h. Avec le soleil, le vent s'est pointé. Il était faible mais au moins il ne me ralentissait pas.
J'ai traversé le pont canal du Guétin. À cet endroit là, le canal littoral à la Loire perd 10 m en deux sas. L'éclusier était sympa, d'ailleurs je ne peux que rendre hommage à tous ces travailleurs des canaux et des pistes cyclables qui sont toujours avenants et m'encouragent.
Nevers c'est une toute petite ville préfecture avec de beaux bâtiments construits avec des pierres calcaires.
Aujourd'hui j'ai parcouru 83 km en 4h45 à 17,6 de moyenne. Je suis parti vers 9h15 et je suis arrivé à la ville ducale à 15h30.
L'altitude est de 179 m.
dimanche 8 mai 2011
Jargeau (Loiret) Cosné sur Loire (Cher)
Aujourd'hui j'ai fait 99 km presque que de la route bitumée. J'ai fait une moyenne de 18 km/h pendant 5h30.
Tout l'après-midi j'ai eu des rafales de vent me gênant pendant ma progression. La Loire est toujours aussi belle, je suis très zen en l'observant.
Je suis arrivé à l'altitude de 145 m, hier j'étais à 106 m.
Je suis passé sur le canal pont de Briare, cela mérite le déplacement.
Tout l'après-midi j'ai eu des rafales de vent me gênant pendant ma progression. La Loire est toujours aussi belle, je suis très zen en l'observant.
Je suis arrivé à l'altitude de 145 m, hier j'étais à 106 m.
Je suis passé sur le canal pont de Briare, cela mérite le déplacement.
samedi 7 mai 2011
Blois ( Loir et Cher) Jargeau (Loiret)
Ce matin le ciel est voilé lors de mon départ. Le temps est très orageux. Par moments, je vais franchir des murs de moucherons. J'en ai gobé quelqu'uns avant de franchir ces murs en apnée.
En fin de matinée le ciel se dégage avec le retour du vent d'origine Sud-Est.
Nelly et Jean ( mes hôtes Servas) font un bout de chemin avec moi pour m'accompagner jusqu'au chemin cycliste.
Je rencontre beaucoup de groupes de cyclistes qui descendent la Loire.
Un pélerin venant de Paris pour Compostelle peste contre les murs de moucherons.
L'essentiel du parcours est réalisé sur des digues, c'est confortable et roulant.
L'entrée du village de Tavers est aussi brusque qu'imprévue mais j'ai réussi à franchir avec difficulté cette côte sans mettre pied à terre.
Vers Meung sur Loire, le chemin est plein de gros graviers ou du sable, c'est un parcours du combattant pendant quelques kilomètres : deux chutes sans gravité. D'autres groupes de cyclistes ont eu des difficultés aussi.
Je n'ai pas trouvé le camping de Chécy (19 km après Orléans) : il y avait de plein de déviations et de toutes façons il n'ouvrira qu'en juin s'il ouvre!!!
J'ai enfin trouvé un camping 10 km plus loin vers 16 heures.
J'ai fait 91 km à 17,6 km/h de moyenne pendant 5 h10.
En fin de matinée le ciel se dégage avec le retour du vent d'origine Sud-Est.
Nelly et Jean ( mes hôtes Servas) font un bout de chemin avec moi pour m'accompagner jusqu'au chemin cycliste.
Je rencontre beaucoup de groupes de cyclistes qui descendent la Loire.
Un pélerin venant de Paris pour Compostelle peste contre les murs de moucherons.
L'essentiel du parcours est réalisé sur des digues, c'est confortable et roulant.
L'entrée du village de Tavers est aussi brusque qu'imprévue mais j'ai réussi à franchir avec difficulté cette côte sans mettre pied à terre.
Vers Meung sur Loire, le chemin est plein de gros graviers ou du sable, c'est un parcours du combattant pendant quelques kilomètres : deux chutes sans gravité. D'autres groupes de cyclistes ont eu des difficultés aussi.
Je n'ai pas trouvé le camping de Chécy (19 km après Orléans) : il y avait de plein de déviations et de toutes façons il n'ouvrira qu'en juin s'il ouvre!!!
J'ai enfin trouvé un camping 10 km plus loin vers 16 heures.
J'ai fait 91 km à 17,6 km/h de moyenne pendant 5 h10.
vendredi 6 mai 2011
Saint Cyr sur Loire (Indre et Loire) Blois (Loir et Cher)
Départ ce matin sous un soleil radieux vers 9h15.
83 km réalisés en 4h30 à une moyenne de 18km/h.
Arrivée à Blois vers 15h. Comme à chaque arrivée je dois quitter le bord de Loire et me payer quelques montées sévères, c'est quand même pas ces quelques kilomètres pentus qui vont altérer mon moral ! Je commence à admirer mes mollets sans maux laids (quel mot laid). Le bord de Loire devient un peu plus accidenté et le pentes deviennent un tout petit peu plus importantes.
83 km réalisés en 4h30 à une moyenne de 18km/h.
Arrivée à Blois vers 15h. Comme à chaque arrivée je dois quitter le bord de Loire et me payer quelques montées sévères, c'est quand même pas ces quelques kilomètres pentus qui vont altérer mon moral ! Je commence à admirer mes mollets sans maux laids (quel mot laid). Le bord de Loire devient un peu plus accidenté et le pentes deviennent un tout petit peu plus importantes.
jeudi 5 mai 2011
Saint Clément les levées (Maine et Loire) Saint Cyr sur Loire (Indre et Loire)
A Saint Clément les levées, j'ai visité l'atelier de Maroquinerie de Rosine et Raphaël Mamet : l'atelier est face à la Loire, point de vue imprenable. Avec un tel paysage, l'artiste n'a plus qu'à exprimer ses talents.
Rien qu'en feuilletant le catalogue de la maroquinerie, on voit la beauté et la qualité des produits. Les sacs sont d'une beauté époustouflante.
Tout est réalisé avec des peaux de chèvre.
http://www.mamet-maroquinier.fr/
Je suis parti ce matin vers 9h15, quel plaisir de voyager en terre ligérienne : grand soleil et pas de vent, je couvre mes genoux et mon nez d'écran total. Je quitte les levées d'Anjou pour rejoindre la levée de Touraine, c'est une digue qui protège des crues de la Loire.
Vers Chinon, j'ai vu une usine à faire de la vapeur, c'est pas beau. Heureusement je retrouve vite la quiétude des bords naturels et sauvages de la Loire.
Après 80 km j'arrive à Tours vers 14h30 : durée du voyage 4h30 à la moyenne de 18km/h.
J'ai eu droit à une visite guidée par Marie-Christine et Hubert du vieux Tours, j'ai appris que Saint Martin est parti de Hongrie pour venir mourir à Tours. D'où le nom de la cathédrale.
J'ai vu le restaurant la Deuvalière (il faut réserver longtemps à l'avance pour avoir une table). (http://www.restaurant-ladeuvaliere.com/servane-emmanuel.html).
Etant Saint Cyrien pour un jour j'ai été accueilli par par Saint Cyr Accueil Loisir et j'ai été invité à un repas convivial d'une vingtaine de nouveaux Saint Cyriens : http://www.saint-cyr-sur-loire.com/index.php?media_id=Annu_assos&asso_id=19
Rien qu'en feuilletant le catalogue de la maroquinerie, on voit la beauté et la qualité des produits. Les sacs sont d'une beauté époustouflante.
Tout est réalisé avec des peaux de chèvre.
http://www.mamet-maroquinier.fr/
Je suis parti ce matin vers 9h15, quel plaisir de voyager en terre ligérienne : grand soleil et pas de vent, je couvre mes genoux et mon nez d'écran total. Je quitte les levées d'Anjou pour rejoindre la levée de Touraine, c'est une digue qui protège des crues de la Loire.
Vers Chinon, j'ai vu une usine à faire de la vapeur, c'est pas beau. Heureusement je retrouve vite la quiétude des bords naturels et sauvages de la Loire.
Après 80 km j'arrive à Tours vers 14h30 : durée du voyage 4h30 à la moyenne de 18km/h.
J'ai eu droit à une visite guidée par Marie-Christine et Hubert du vieux Tours, j'ai appris que Saint Martin est parti de Hongrie pour venir mourir à Tours. D'où le nom de la cathédrale.
J'ai vu le restaurant la Deuvalière (il faut réserver longtemps à l'avance pour avoir une table). (http://www.restaurant-ladeuvaliere.com/servane-emmanuel.html).
Etant Saint Cyrien pour un jour j'ai été accueilli par par Saint Cyr Accueil Loisir et j'ai été invité à un repas convivial d'une vingtaine de nouveaux Saint Cyriens : http://www.saint-cyr-sur-loire.com/index.php?media_id=Annu_assos&asso_id=19
mercredi 4 mai 2011
Savennières Saint Clément les Levées
Aujourd'hui j'ai du plier toutes mes affaires encore humides car il y a eu beaucoup de rosée et pas de soleil. J'ai du tout étendre chez mes hôtes (tente, matelas,duvet,chaussures de ville, serviette éponge).
Depuis hier le vent d'Est chasse les nuages en fin de matinée. Mais du coup je l'ai dans le pif.
Je commence à ētre raisonnable, j'ai fait 50 km à une moyenne de
16,4 km/h pendant 3 heures.
Ici les cerises sont déjà mûres et le jardin est très en avance par rapport à Rennes.
Je suis déjà à 450 km de la côte d'Émeraude soit 10% de mon voyage. Je tiens le bon bout...
Depuis hier le vent d'Est chasse les nuages en fin de matinée. Mais du coup je l'ai dans le pif.
Je commence à ētre raisonnable, j'ai fait 50 km à une moyenne de
16,4 km/h pendant 3 heures.
Ici les cerises sont déjà mûres et le jardin est très en avance par rapport à Rennes.
Je suis déjà à 450 km de la côte d'Émeraude soit 10% de mon voyage. Je tiens le bon bout...
mardi 3 mai 2011
Le Cellier (44) Savennières (49)
Départ ce matin vers 10h avec la pluie qui avait du mal à complêtement à s'arrêter.
Les 7 premiers km furent laborieux, chemin inondé et boue partout. Ces 7 km furent réalisés en une heure.
A partir de Oudon, ce n'est plus que du bitume ou des voies très roulantes.
Quand les nuages furent partis c'est que le vent d'Est les avait chassés. Du coup j'ai rarement atteint les 20 km/h.
Je suis arrivé à Savennières vers 15h15 après 71 km avec une moyenne de 16 km/h.
J'ai visité le château closel ( www.Savennières-closel.com).
Je n'ai trouvé un camping qu'à 7km du bord de Loire avec une grosse côte.
Je ne sais pas encore insérer une photo à partir de mon iPhone (appel lancé vers les pros).
Les 7 premiers km furent laborieux, chemin inondé et boue partout. Ces 7 km furent réalisés en une heure.
A partir de Oudon, ce n'est plus que du bitume ou des voies très roulantes.
Quand les nuages furent partis c'est que le vent d'Est les avait chassés. Du coup j'ai rarement atteint les 20 km/h.
Je suis arrivé à Savennières vers 15h15 après 71 km avec une moyenne de 16 km/h.
J'ai visité le château closel ( www.Savennières-closel.com).
Je n'ai trouvé un camping qu'à 7km du bord de Loire avec une grosse côte.
Je ne sais pas encore insérer une photo à partir de mon iPhone (appel lancé vers les pros).
Redon (Ille et Vilaine) Le Cellier (Loire Atlantique)
Je suis parti de Redon vers 9 heures et je suis arrivé au Cellier vers 18h15. J'ai roulé pendant presque 7 heures à une moyenne de 16 km/h..
J'avais prévu 80 km , mon calcul était minimisé et j'ai fait 110 km.
Heureusement les 30 km supplémentaires étaient sur une petite route confortable mais vallonnée.
Le chemin de halage a été renouvelé mais c'est du gros gravier qui n'a pas encore été tassé. C'est beaucoup moins roulant que sur un revêtement stabilisé.
J'ai essuyé un gros orage, j'ai trouvé un abri dans une halte éclusière avec douches et toilettes et fauteuil moelleux. J'ai pu faire une mini-sieste.
Beaucoup d'oiseaux tout au long du chemin, cormorans, échassiers, ...
J'avais prévu 80 km , mon calcul était minimisé et j'ai fait 110 km.
Heureusement les 30 km supplémentaires étaient sur une petite route confortable mais vallonnée.
Le chemin de halage a été renouvelé mais c'est du gros gravier qui n'a pas encore été tassé. C'est beaucoup moins roulant que sur un revêtement stabilisé.
J'ai essuyé un gros orage, j'ai trouvé un abri dans une halte éclusière avec douches et toilettes et fauteuil moelleux. J'ai pu faire une mini-sieste.
Beaucoup d'oiseaux tout au long du chemin, cormorans, échassiers, ...
dimanche 1 mai 2011
départ de Rennes : en route pour l'aventure!
Aujourd'hui, j'ai eu le plaisir d'être accompagné par une cinquantaine de proches, amis et famille, pour mon départ. Les uns étaient présents au point de départ de Rennes, les autres nous ont rejoints sur le chemin, ou au lieu de pique-nique, à 33 km de Rennes, au bord de la Vilaine. Après une petite godinette royale (apéritif local, voir recette) et un bon pique-nique avec plein de bons gâteaux, je suis parti sous la Ola de mes supporters, non sans émotion! Un grand merci à tous!
Un frère couché : le tandem! |
Ensuite, j'ai tracé ma route nez au vent, pendant les 65 km restants jusqu'à Redon. J'ai fait du 16km/h, et suis arrivé à 18h15 à Redon chez mon hôte, Jean-Marc.
Le chemin de halage au départ de Rennes est en mauvais état, cela devient un vrai tapis de velours en arrivant vers Redon.
Il y a une trentaine de km de route bitumée et confortable autour de Langon.
Le chemin de halage au départ de Rennes est en mauvais état, cela devient un vrai tapis de velours en arrivant vers Redon.
Il y a une trentaine de km de route bitumée et confortable autour de Langon.
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